Le Vendredi 17 Juin 1988 – Retour Au Bureau

Le matin le rituel des bonjours, … J’aperçus à peine Monique.
Avant qu’elle ne m’apporte le parapheur du courrier matinal, je l’appelais au téléphone : « Vous êtes seule ? »
Monique : « Oui, … le courrier sera prêt dans 5 minutes? »
Moi : « On verra le courrier après, … Comment se porte ma charmante et jolie secrétaire ? … »
Monique : « Male, … »
Moi : « Comment male, … »
Monique : « C’est de ta faute, … tu m’obsèdes, … je ne pense qu’à toi, … je ne pense qu’à ça, …»
Moi, : « Mais ou est le problème, … »
Monique : « Le problème, … avant de quitter l’appartement, … je m’examine, … en détail, … »
Moi : « Pourquoi, … tu es belle naturellement, … »
Monique : « Je suis obsédée par ton regard, … tu me rends folle, … est-ce que je suis bien épilée, … est-ce que tu vas me trouver encore à ton goût, … est-ce que ma jupe est bien mise, … est-ce que tu vas avoir envie de moi, …»
Moi : « Houlala, … viens me voir, … avec le courrier, … ça fait plus sérieux, … je te dirais comment tu es, … »
Elle arriva avec le parapheur du courrier arrivé et avant de me le remettre, elle fit sauter un bouton de son corsage et en se penchant cela me permit d’avoir une vue plongeante sur ses seins, ce qui avait le don de créer un renflement au niveau braguette.
Moi : « Tu as l’art de faire ce qu’il faut pour m’exciter,… (puis regardant avec plus d’attention, je constatais qu’elle portait un soutien-gorge) … Mais tu as un soutien-gorge, je te préfère sans …»
Monique : « Je ne sais si tu as constaté que j’ai de la poitrine, pas une d’ado, … »
Moi : « J’ai constaté que tu avais une belle poitrine, une très belle poitrine, … et je suppose que quand tu te mets en maillot, certains doivent se régaler les yeux et rêver, … »
Monique : « Tu n’as pas tort et si je ne porte pas de soutien-gorge, cela est visible à travers mon corsage et certains de tes gars ont l’œil, je te garantis, … j’ai donc mis un soutien quart de bonnet, ça les tiens et tu peux les avoir pratiquement à portée de main, … j’aime que tu les regardes, … et même j’aime que tu tendes la main pour les caresser doucement, …»
Toujours très calme, elle me dit : « Avant de passer à autre chose, mon mari m’a fait des reproches, comme le rendez-vous prévu la semaine dernière a du être annulé de sa faute, il m’a dit que la moindre des choses était de fixer avec toi une autre date et pour s’excuser il aimerait t’inviter à diner.

Quelle date te conviendrait ? »
Moi : « Quand vous voulez la semaine prochaine, mais disons mercredi Mais on pourra en discuter plus avant quand on sera au parking, »
Monique : « Non, … je veux en discuter maintenant, … d’autant que tu as remarqué j’ai mis une jupe large, … et sous la jupe j’ai un petit animal qui ne demande qu’à être caressé, …»
Moi : « Que cela est bien dit, … Tout le monde est parti. Viens à coté de moi, je pense que je vais m’en occuper, … »
Monique : « Non, pas ici, … mais tu es fou, … »
Moi : « Dis donc c’est toi qui a fait la proposition, …viens, … ou je te fais le coup, tu viens ou je hurle, … »
Monique : « Horrible personnage, …c’est du chantage, … je viens si on se voit au parking, …»
Moi : « Tu as des idées, … des envies, … »
Monique : « Oui, …je veux que tu t’occupes de moi, … que tu me caresses, … et que tu me prennes avec la langue, … que tu me dises que tu as envie de moi, … que t’aimes me donner du plaisir, … mais pas ici, … c’est dangereux, … »
Moi : « Il n’y a pas grands risques, le personnel qui reste est féminin et l’avantage c’est quelles ont des chaussures à talons, dont les déplacements étaient entendus… Il ne fallait pas me parler de ce petit animal câlin, …»
Certainement un peu inquiète, mais tentée, excitée par la situation elle vint à coté de moi, le parapheur était ouvert, comme si je lui montrais quelque chose. Avec cette jupe large comme une jupe provençale, par derrière, je glissais une main et remontais pour arriver au haut des bas, la peau était douce, très douce et je continuais pour arriver à son entrejambe, qui comme je l’espérais était nu de tout tissu. Elle écarta légèrement les cuisses et je pus atteindre sa chatte, que je couvrais entièrement de la paume de ma main. Cela fut apprécié par un OH, … oui, … et je commençais à parcourir la raie de ses grosses lèvres quand rapidement un doigt s’introduit dans son fourreau chaud et humide.
« Non, … arrêtes, … » puis un deuxième, les cuisses s’étant légèrement et involontairement ( ?) écartées.
La place était libre d’accès et je commençais une série de va et vient gentils, mais qui provoquaient leur petit effet, puis me retirant de son minou, j’investissais doucement sa rosette : « Non, … pas ça, … pas ici, … »
Moi : « Je suis sur que tu t’es préparé pour ça, … dis moi, … »
Elle : « Tu exagères, … faits doucement, … tu profites, … » et je me retirais de sa rosette pour reprendre ma conquête de sa chatte. Après quelques allées et venues, je me retirais complètement et ne faisait que caresser sa chatte qui s’humidifiait sérieusement
Elle : « Qu’est ce que tu fais, … ne t’arrêtes pas, … c’était bon, … »
En fait j’avais entendu un bruit de talons, il ne semblait pas venir de notre coté mais, … prudent elle était bien chaude mais restée sur sa faim elle n’en serait que plus gourmande sur la parking
Moi : « Je crois avoir entendu quelqu’un marché, … »
Elle « T’es sur, … » et elle se dégagea rapidement pour reprendre le style, secrétaire parfaite.
Elle : « Je me demande si c’est vrai, … tu me laisses sur ma faim, … comment vais-je attendre midi ? … »
Moi : « En pensant à moi, … à ce que tu aimeras qu’on fasse, … dis moi ce dont tu as envie, …»
Soulevant les épaules elle reprit le parapheur et retourna à son bureau.
Toute la matinée, j’avais été très occupé, coups de téléphone, préparation de mon remplacement, milieu de matinée j’appelais Monique au téléphone : « Vous êtes seule ? »
Monique : « Oui, … bien sur, … »
Moi : « Vous avez peut-être entendu, il y a un problème sur le chantier du lotissement, mon adjoint y est mais le maître d’œuvre veut que je vienne, … désolé mais à midi, je ne pourrais pas être là, … »
Monique : « … OK, … je n’ai rien à dire, … mais, … »
Moi : « …mais, … il me faudrait le dossier N° … Que vous trouverez aux archives, … Si vous ne le trouvez pas, … je pourrais vous aider, … »
Monique : « Bien Monsieur, J’y vais de suite, … »
Je ne l’entendis pas mais, la vis passer, elle avait enlevé ses talons, remplacé par des ballerines, … futée la nana
J’attendais quelques minutes et me rendais aux archives.
A peine arrivé dans le fond de la pièce Monique était là, sans un mot, elle vint se coller contre moi : « Tu es un monstre, … tu m’excites, … et tu te sauves, … qu’est ce que tu veux faire ici, … tu ne vas pas,… »
Moi : « Remontes ta jupe, … je veux te baiser, … c’est de ça que tu as envie, … laisses moi caresser ta chatte, voir si tu es toute chaude, … »
Monique : « Qu’est-ce que tu vas faire, … m’exciter encore, … et partir, … tu es un horrible bonhomme, … (et elle souleva sa jupe) je suis la dernière des dernières, … je suis une horrible soumise, … pourquoi je ne peux pas te résister, … »
Moi : « Parce que tu aimes ce que nous faisons, …t’es encore toute chaude, … tournes toi, … et remontes ta jupe sur ton joli cul, … je vais te prendre ici, … prends appui sur les rayons, …»
Monique : « Mais tu es complétement fou, … et si quelqu’un vient, … non, … arrêtes, … »
Elle avait relevé sa jupe et j’avais sous mes yeux son joli cul, doux à caresser et tentant à prendre. J’avais sorti mon équipement, qui ne demandait que ça et je l’amenais à l’entrée de sa chatte, ce qu’elle sentit rapidement et dit : « Oui, … tu es fou, … prends moi, … ne me faits attendre, … depuis ce matin j’attends, … je n’ai plus aucune volonté, … je ne me reconnais plus, … ouiiii …, prends moi, … je n’attends que ça, … OOOHHH, … j’ai honte de moi, … je me comporte comme une salope, … mais je veux que tu me baises, …»
Moi : « Dis moi, que t’aimes baiser avec moi, … »
Monique : « Oui, … j’aime que tu me prennes, … que tu me baises, … OOOHHH OUIIII, … j’aime cette position, … j’aime être ta femelle … que tu me montes, …je ne pense qu’à ça, … »
Sa chatte bien ouverte venait de m’accueillir et je commençais à la ramoner avec énergie, elle était chaude à point et on ne pouvait pas s’éterniser dans les archives, un coup de fil et personne à l’accueil, …
Monique : « Oui, … OOOHHH OUIIII, … continues, … ne t’arrêtes pas, … j’aime te sentir, … j’aime sentir ta queue m’envahir, …je sens que ça vient, … OOOHHHH, … OUIIIIII, ….
OUIIIIII, …. C’est bon,…»
Cramponné à ses hanches et n’y tenant plus je m’étais vidé dans son minou, quand elle s’était mise à jouir. Cette femelle me vidait chaque fois et j’en avais toujours autant envie.
Elle se redressa, rabattit sa jupe et se collant à moi : « J’aurais de bons souvenirs, … »
Puis elle partit, je quittais également le bureau pour le chantier et n’y revenais qu’en milieu d’après-midi, pour le quitter vers 18,00 heures et ce jusqu’au Lundi matin.

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